Deisis (Christ en Gloire entouré de tous les Anges et Archanges, avec à Sa Droite, la Très-Sainte Mère de Dieu et à Sa Gauche, Saint Jean Baptiste, le Prophète et Précurseur)

lundi 7 février 2011

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Les Saintes Ecritures

Les Saintes Ecritures (selon le Typikon) Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 :
Jean 10 : 1 – 9 Evangile des Matines
1 Pierre 2 : 21 – 3 : 9
Marc 12 : 13 – 17
1 Corinthiens 12 : 7 – 11 Saint Grégory
Jean 10 : 9 – 16 Saint Grégory
Hébreux 13 : 7 – 16 St. Vladimir
Luc 12 : 32 – 40 St. Vladimir

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Jean 10 : 1 – 9 (Evangile des Matines)

Nouveau Testament  -  Evangile des Matines
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Jean
Jean 10 : 1 – 9
[1]     "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans l'enclos des brebis, mais en fait l'escalade par une autre voie, celui-là est un voleur et un brigand;
[2]     celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.
[3]     Le portier lui ouvre et les brebis écoutent sa voix, et ses brebis à lui, il les appelle une à une et il les mène dehors.
[4]     Quand il a fait sortir toutes celles qui sont à lui, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.
[5]     Elles ne suivront pas un étranger ; elles le fuiront au contraire, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers."
[6]     Jésus leur tint ce discours mystérieux, mais eux ne comprirent pas ce dont il leur parlait.
[7]     Alors Jésus dit à nouveau : "En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
[8]     Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont pas écoutés.
[9]     Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.
[10]   Le voleur ne vient que pour voler, égorger et faire périr. Moi, je suis venu pour qu'on ait la vie et qu'on l'ait surabondante.
[11]   Je suis le bon pasteur; le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.
[12]   Le mercenaire, qui n'est pas le pasteur et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s'enfuit, et le loup s'en empare et les disperse.
[13]   C'est qu'il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis.
[14]   Je suis le bon pasteur; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent,
[15]   comme le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
[16]   J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos; celles-là aussi, il faut que je les mène; elles écouteront ma voix; et il y aura un seul troupeau, un seul pasteur;
[17]   c'est pour cela que le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre.
[18]   Personne ne me l'enlève; mais je la donne de moi-même. J'ai pouvoir de la donner et j'ai pouvoir de la reprendre; tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père."

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - 1 Pierre 2 : 21 – 3 : 9

Nouveau Testament  -  Epîtres de Saint Pierre
Première Epître du Saint Apôtre Pierre
1 Pierre 2 : 21 – 3 : 9
1 Pierre 2 : 19 – 25
[19]   Car c'est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement.
[20]   Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute ? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c'est une grâce auprès de Dieu.
[21]   Or, c'est à cela que vous avez été appelés, car le Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un modèle afin que vous suiviez ses traces,
[22]   lui qui n'a pas commis de faute - et il ne s'est pas trouvé de fourberie dans sa bouche ;
[23]   lui qui insulté ne rendait pas l'insulte, souffrant ne menaçait pas, mais s'en remettait à Celui qui juge avec justice ;
[24]   lui qui, sur le bois, a porté lui-même nos fautes dans son corps, afin que, morts à nos fautes, nous vivions pour la justice ; lui dont la meurtrissure vous a guéris.
[25]   Car vous étiez égarés comme des brebis, mais à présent vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes.
1 Pierre 3 : 1 – 9
[1]     Pareillement, vous les femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, même si quelques-uns refusent de croire à la Parole, ils soient, sans parole, gagnés par la conduite de leurs femmes,
[2]     en considérant votre vie chaste et pleine de respect.
[3]     Que votre parure ne soit pas extérieure, faite de cheveux tressés, de cercles d'or et de toilettes bien ajustées,
[4]     mais à l'intérieur de votre cœur dans l'incorruptibilité d'une âme douce et calme : voilà ce qui est précieux devant Dieu.
[5]     C'est ainsi qu'autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu se paraient, soumises à leurs maris :
[6]     telle Sara obéissait à Abraham, en l'appelant son Seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les enfants, si vous agissez bien, sans terreur et sans aucun trouble.
[7]     Vous pareillement, les maris, menez la vie commune avec compréhension, comme auprès d'un être plus fragile, la femme ; accordez-lui sa part d'honneur, comme cohéritière de la grâce de Vie. Ainsi vos prières ne seront pas entravées.
[8]     Enfin, vous tous, en esprit d'union, dans la compassion, l'amour fraternel, la miséricorde, l'esprit d'humilité,
[9]     ne rendez pas mal pour mal, insulte pour insulte. Bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction.

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Marc 12 : 13 – 17

Nouveau Testament  -  Les Evangiles
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Marc
Marc 12 : 13 – 17
[12]   Ils cherchaient à l'arrêter, mais ils eurent peur de la foule. Ils avaient bien compris, en effet, que c'était pour eux qu'il avait dit la parabole. Et le laissant, ils s'en allèrent.
[13]   Ils lui envoyèrent alors quelques-uns des Pharisiens et des Hérodiens pour le prendre au piège dans sa parole.
[14]   Ils vinrent et lui dirent : "Maître, nous savons que tu es véridique et que tu ne te préoccupes pas de qui que ce soit; car tu ne regardes pas au rang des personnes, mais tu enseignes en toute vérité la voie de Dieu. Est-il permis ou non de payer l'impôt à César ? Devons-nous payer, oui ou non ?"
[15]   Mais lui, sachant leur hypocrisie, leur dit : "Pourquoi me tendez – vous un piège ? Apportez – moi un denier, que je le voie."
[16]   Ils en apportèrent un et il leur dit : "De qui est l'effigie que voici ? Et l'inscription ? "Ils lui dirent : "De César."
[17]   Alors Jésus leur dit : "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu." Et ils étaient fort surpris à son sujet.

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - 1 Corinthiens 12 : 7 – 11 (Saint Grégory)

Nouveau Testament  -  Epîtres de Saint Paul
Première Epître du Saint Apôtre Paul aux Corinthiens
1 Corinthiens 12 : 7 – 11 (Saint Grégory)
[7]     A chacun la manifestation de l'Esprit est donnée en vue du bien commun.
[8]     A l'un, c'est un discours de sagesse qui est donné par l'Esprit; à tel autre un discours de science, selon le même Esprit;
[9]     à un autre la foi, dans le même Esprit; à tel autre les dons de guérisons, dans l'unique Esprit;
[10]   à tel autre la puissance d'opérer des miracles; à tel autre la prophétie; à tel autre le discernement des esprits; à un autre les diversités de langues, à tel autre le don de les interpréter.
[11]   Mais tout cela, c'est l'unique et même Esprit qui l'opère, distribuant ses dons à chacun en particulier comme il l'entend.
[12]   De même, en effet, que le corps est un, tout en ayant plusieurs membres, et que tous les membres du corps, en dépit de leur pluralité, ne forment qu'un seul corps, ainsi en est-il du Christ.
[13]   Aussi bien est-ce en un seul Esprit que nous tous avons été baptisés en un seul corps, Juifs ou Grecs, esclaves ou hommes libres, et tous nous avons été abreuvés d'un seul Esprit.
[14]   Aussi bien le corps n'est-il pas un seul membre, mais plusieurs.
[15]   Si le pied disait : "Parce que je ne suis pas la main, je ne suis pas du corps", il n'en serait pas moins du corps pour cela.
[16]   Et si l'oreille disait : "Parce que je ne suis pas l'œil, je ne suis pas du corps", elle n'en serait pas moins du corps pour cela.
[17]   Si tout le corps était œil, où serait l'ouïe ? Si tout était oreille, où serait l'odorat ?
[18]   Mais, de fait, Dieu a placé les membres, et chacun d'eux dans le corps, selon qu'il a voulu.
[19]   Si le tout était un seul membre, où serait le corps ?
[20]   Mais, de fait, il y a plusieurs membres, et cependant un seul corps.
[21]   L'œil ne peut donc dire à la main : "Je n'ai pas besoin de toi", ni la tête à son tour dire aux pieds : "Je n'ai pas besoin de vous."
[22]   Bien plus, les membres du corps qui sont tenus pour plus faibles sont nécessaires;
[23]   et ceux que nous tenons pour les moins honorables du corps sont ceux – là mêmes que nous entourons de plus d'honneur, et ce que nous avons d'indécent, on le traite avec le plus de décence;
[24]   ce que nous avons de décent n'en a pas besoin. Mais Dieu a disposé le corps de manière à donner davantage d'honneur à ce qui en manque,
[25]   pour qu'il n'y ait point de division dans le corps, mais qu'au contraire les membres se témoignent une mutuelle sollicitude.
[26]   Un membre souffre-t-il ? tous les membres souffrent avec lui. Un membre est – il à l'honneur ? tous les membres se réjouissent avec lui.
[27]   Or vous êtes, vous, le corps du Christ, et membres chacun pour sa part.
[28]   Et ceux que Dieu a établis dans l'Église sont premièrement les apôtres, deuxièmement les prophètes, troisièmement les docteurs... Puis il y a les miracles, puis les dons de guérisons, d'assistance, de gouvernement, les diversités de langues.
[29]   Tous sont-ils apôtres ? Tous prophètes ? Tous docteurs ? Tous font-ils des miracles ?
[30]   Tous ont-ils des dons de guérisons ? Tous parlent-ils en langues ? Tous interprètent-ils ?
[31]   Aspirez aux dons supérieurs. Et je vais encore vous montrer une voie qui les dépasse toutes.

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Jean 10 : 9 – 16 (Saint Grégory)

Nouveau Testament  -  Evangile
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Jean
Jean 10 : 9 – 16 (Saint Grégory)
[9]     Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.
[10]   Le voleur ne vient que pour voler, égorger et faire périr. Moi, je suis venu pour qu'on ait la vie et qu'on l'ait surabondante.
[11]   Je suis le bon pasteur; le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.
[12]   Le mercenaire, qui n'est pas le pasteur et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s'enfuit, et le loup s'en empare et les disperse.
[13]   C'est qu'il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis.
[14]   Je suis le bon pasteur; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent,
[15]   comme le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
[16]   J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos; celles-là aussi, il faut que je les mène; elles écouteront ma voix; et il y aura un seul troupeau, un seul pasteur;
[17]   c'est pour cela que le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre.
[18]   Personne ne me l'enlève; mais je la donne de moi-même. J'ai pouvoir de la donner et j'ai pouvoir de la reprendre; tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père."

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Hébreux 13 : 7 – 16 (Saint Vladimir)

Nouveau Testament  -  Epîtres de Saint Paul
Première Epître du Saint Apôtre Paul aux Hébreux
Hébreux 13 : 7 – 16 (Saint Vladimir)
[7]     Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la parole de Dieu, et, considérant l'issue de leur carrière, imitez leur foi.
[8]     Jésus Christ est le même hier et aujourd'hui, il le sera à jamais.
[9]     Ne vous laissez pas égarer par des doctrines diverses et étrangères : car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, non par des aliments qui n'ont été d'aucun profit à ceux qui en usèrent.
[10]   Nous avons un autel dont les desservants de la Tente n'ont pas le droit de se nourrir.
[11]   Ces animaux, en effet, dont le grand prêtre porte le sang dans le sanctuaire pour l'expiation du péché, leurs corps sont brûlés en dehors du camp.
[12]   C'est pourquoi Jésus lui aussi, pour sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.
[13]   Par conséquent, pour aller à lui sortons en dehors du camp, en portant son opprobre.
[14]   Car nous n'avons pas ici-bas de cité permanente, mais nous recherchons celle de l'avenir.
[15]   Par lui, offrons à Dieu un sacrifice de louange en tout temps, c'est-à-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom.
[16]   Quant à la bienfaisance et à la mise en commun des ressources, ne les oubliez pas, car c'est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir.
[17]   Obéissez à vos chefs et soyez-leur dociles, car ils veillent sur vos âmes, comme devant en rendre compte ; afin qu'ils le fassent avec joie et non en gémissant, ce qui vous serait dommageable.
[18]   Priez pour nous, car nous croyons avoir une bonne conscience, résolus que nous sommes à nous bien conduire en toutes choses.
[19]   Je vous exhorte plus instamment à le faire pour obtenir que je vous sois rendu plus vite.
[20]   Que le Dieu de la paix, qui a ramené de chez les morts celui qui est devenu par le sang d'une alliance éternelle le grand Pasteur des brebis, notre Seigneur Jésus,
[21]   vous rende aptes à accomplir sa volonté en toute sorte de bien, produisant en nous ce qui lui est agréable par Jésus Christ, à qui soit la gloire pour les siècles des siècles ! Amen.
[22]   Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles d'exhortation : aussi bien vous ai-je écrit brièvement..

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - Luc 12 : 32 – 40 (Saint Vladimir)

Nouveau Testament  -  Evangile
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Luc
Luc 12 : 32 – 40 (Saint Vladimir)
 [22] Puis il dit à ses disciples : "Voilà pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous le vêtirez.
[23]   Car la vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement.
[24]   Considérez les corbeaux : ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n'ont ni cellier ni grenier, et Dieu les nourrit. Combien plus valez-vous que les oiseaux !
[25]   Qui d'entre vous d'ailleurs peut, en s'en inquiétant, ajouter une coudée à la longueur de sa vie ?
[26]   Si donc la plus petite chose même passe votre pouvoir, pourquoi vous inquiéter des autres ?
[27]   Considérez les lis, comme ils ne filent ni ne tissent. Or, je vous le dis, Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'a pas été vêtu comme l'un d'eux.
[28]   Que si, dans les champs, Dieu habille de la sorte l'herbe qui est aujourd'hui, et demain sera jetée au four, combien plus le fera-t-il pour vous, gens de peu de foi !
[29]   Vous non plus, ne cherchez pas ce que vous mangerez et ce que vous boirez; ne vous tourmentez pas.
[30]   Car ce sont là toutes choses dont les païens de ce monde sont en quête; mais votre Père sait que vous en avez besoin.
[31]   Aussi bien, cherchez son Royaume, et cela vous sera donné par surcroît.
[32]   "Sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père s'est complu à vous donner le Royaume.
[33]   "Vendez vos biens, et donnez-les en aumône. Faites-vous des bourses qui ne s'usent pas, un trésor inépuisable dans les cieux, où ni voleur n'approche ni mite ne détruit.
[34]   Car où est votre trésor, là aussi sera votre cœur.
[35]   "Que vos reins soient ceints et vos lampes allumées.
[36]   Soyez semblables, vous, à des gens qui attendent leur maître à son retour de noces, pour lui ouvrir dès qu'il viendra et frappera.
[37]   Heureux ces serviteurs que le maître en arrivant trouvera en train de veiller ! En vérité, je vous le dis, il se ceindra, les fera mettre à table et, passant de l'un à l'autre, il les servira.
[38]   Qu'il vienne à la deuxième ou à la troisième veille, s'il trouve les choses ainsi, heureux seront-ils !
[39]   Comprenez bien ceci : si le maître de maison avait su à quelle heure le voleur devait venir, il n'aurait pas laissé percer le mur de sa maison.
[40]   Vous aussi, tenez-vous prêts, car c'est à l'heure que vous ne pensez pas que le Fils de l'homme va venir.".