Deisis (Christ en Gloire entouré de tous les Anges et Archanges, avec à Sa Droite, la Très-Sainte Mère de Dieu et à Sa Gauche, Saint Jean Baptiste, le Prophète et Précurseur)

lundi 7 février 2011

Lundi 25 janv. / 07 fév. 2011 - 1 Pierre 2 : 21 – 3 : 9

Nouveau Testament  -  Epîtres de Saint Pierre
Première Epître du Saint Apôtre Pierre
1 Pierre 2 : 21 – 3 : 9
1 Pierre 2 : 19 – 25
[19]   Car c'est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement.
[20]   Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute ? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c'est une grâce auprès de Dieu.
[21]   Or, c'est à cela que vous avez été appelés, car le Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un modèle afin que vous suiviez ses traces,
[22]   lui qui n'a pas commis de faute - et il ne s'est pas trouvé de fourberie dans sa bouche ;
[23]   lui qui insulté ne rendait pas l'insulte, souffrant ne menaçait pas, mais s'en remettait à Celui qui juge avec justice ;
[24]   lui qui, sur le bois, a porté lui-même nos fautes dans son corps, afin que, morts à nos fautes, nous vivions pour la justice ; lui dont la meurtrissure vous a guéris.
[25]   Car vous étiez égarés comme des brebis, mais à présent vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes.
1 Pierre 3 : 1 – 9
[1]     Pareillement, vous les femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, même si quelques-uns refusent de croire à la Parole, ils soient, sans parole, gagnés par la conduite de leurs femmes,
[2]     en considérant votre vie chaste et pleine de respect.
[3]     Que votre parure ne soit pas extérieure, faite de cheveux tressés, de cercles d'or et de toilettes bien ajustées,
[4]     mais à l'intérieur de votre cœur dans l'incorruptibilité d'une âme douce et calme : voilà ce qui est précieux devant Dieu.
[5]     C'est ainsi qu'autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu se paraient, soumises à leurs maris :
[6]     telle Sara obéissait à Abraham, en l'appelant son Seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les enfants, si vous agissez bien, sans terreur et sans aucun trouble.
[7]     Vous pareillement, les maris, menez la vie commune avec compréhension, comme auprès d'un être plus fragile, la femme ; accordez-lui sa part d'honneur, comme cohéritière de la grâce de Vie. Ainsi vos prières ne seront pas entravées.
[8]     Enfin, vous tous, en esprit d'union, dans la compassion, l'amour fraternel, la miséricorde, l'esprit d'humilité,
[9]     ne rendez pas mal pour mal, insulte pour insulte. Bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction.

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