2 Corinthiens 12 : 20 – 21
[12]
Les traits distinctifs de l'apôtre ont été réalisés chez vous; parfaite
constance, signes, prodiges et miracles.
[13]
Qu'avez-vous eu de moins que les autres Églises, sinon que
personnellement je ne vous ai pas été à charge ? Pardonnez-moi cette
injustice.
[14]
Voici que, pour la troisième fois, je suis prêt à me rendre chez vous,
et je ne vous serai pas à charge; car ce que je recherche, ce ne sont pas vos
biens, mais vous. Ce ne sont pas en effet les enfants qui doivent thésauriser
pour les parents, mais les parents pour les enfants.
[15]
Pour moi, je dépenserai très volontiers et je me dépenserai moi-même
tout entier pour vos âmes. Faut-il que, vous aimant davantage, je sois moins
aimé ?
[16]
Soit, dira-t-on; personnellement je ne vous ai pas grevés. Mais, en
fourbe que je suis, je vous ai pris par la ruse.
[17]
Vous aurais-je donc exploités par l'un quelconque de ceux que je vous ai
envoyés ?
[18]
J'ai insisté auprès de Tite, et j'ai envoyé avec lui le frère. Tite vous
aurait-il exploités ? N'avons-nous pas marché dans le même esprit ? suivi les
mêmes traces ?
[19]
Depuis longtemps, vous vous imaginez que nous nous défendons devant
vous. C'est devant Dieu, dans le Christ, que nous parlons. Et tout cela,
bien-aimés, pour votre édification.
[20]
Je crains, en effet, qu'à mon arrivée je ne vous trouve pas tels que je
voudrais, et que vous me trouviez tel que vous ne voudriez pas; qu'il n'y ait
discorde, jalousie, animosités, disputes, calomnies, commérages, insolences,
désordres.
[21]
Je crains qu'à ma prochaine visite mon Dieu ne m'humilie à votre sujet,
et que je n'aie à mener le deuil sur plusieurs de ceux qui ont péché
précédemment et ne se sont pas repentis pour leurs actes d'impureté, de
fornication et de débauche.
2 Corinthiens 13 : 1 – 3
[1]
C'est la troisième fois que je vais me rendre chez vous. Toute affaire
se décidera sur la parole de deux témoins ou de trois.
[2]
Je l'ai déjà dit à ceux qui ont péché précédemment et à tous les autres,
et je le redis d'avance aujourd'hui que je suis absent, comme lors de mon
second séjour : si je reviens, je serai sans ménagement,
[3]
puisque vous cherchez une preuve que le Christ parle en moi, lui qui
n'est pas faible à votre égard, mais qui est puissant parmi vous.
Gloire à Toi, Ô Dieu !
Gloire à Toi !
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