Lectures
du Jour (Vendredi 11 Août) :
Epître du Jour
Nouveau Testament - Epître
Sagesse ! Tenons –
nous droits ! Soyons attentifs !
Deuxième Epître du Saint Apôtre Paul aux Corinthiens
2 Corinthiens 7 : 10 – 16 (Epître du Jour)
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[1]
En possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute
souillure de la chair et de l'esprit, achevant de nous sanctifier dans la
crainte de Dieu.
[2]
Faites-nous place en vos cœurs. Nous n'avons fait tort à personne, nous
n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne.
[3]
Je ne dis pas cela pour vous condamner. Je vous l'ai déjà dit : vous
êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort.
[4]
J'ai grande confiance en vous, je suis très fier de vous. Je suis comblé
de consolation; je surabonde de joie dans toute notre tribulation.
[5]
De fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chair ne connut pas de
repos. Partout des tribulations : au-dehors, des luttes; au-dedans, des
craintes.
[6]
Mais Celui qui console les humiliés, Dieu, nous a consolés par l'arrivée
de Tite,
[7]
et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que
vous-mêmes lui aviez donnée. Il nous a fait part de votre ardent désir, de
votre désolation, de votre zèle pour moi, si bien qu'en moi la joie a
prévalu.
[8]
Vraiment, si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas.
Et si je l'ai regretté – je vois bien
que cette lettre vous a, ne fût-ce qu'un moment, attristés –
[9]
je m'en réjouis maintenant, non de ce que vous avez été attristés, mais
de ce que cette tristesse vous a portés au repentir. Car vous avez été
attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez, de notre part, subi aucun
dommage.
[10]
La tristesse selon Dieu produit en effet un repentir salutaire qu'on ne
regrette pas; la tristesse du monde, elle, produit la mort.
[11]
Voyez plutôt ce qu'elle a produit chez vous, cette tristesse selon Dieu.
Quel empressement ! Que dis-je ? Quelles excuses ! Quelle indignation !
Quelle crainte ! Quel ardent désir ! Quel zèle ! Quelle punition ! Vous avez
montré de toutes manières que vous étiez innocents en cette affaire.
[12]
Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n'est ni à cause de l'offenseur ni à
cause de l'offensé. C'était pour faire éclater chez vous devant Dieu
l'empressement que vous avez à notre égard.
[13]
Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation personnelle s'est
ajoutée une joie bien plus grande encore, celle de voir la joie de Tite, dont
l'esprit a reçu apaisement de vous tous.
[14]
Que si devant lui je me suis quelque peu glorifié à votre sujet, je n'ai
pas eu à en rougir. Au contraire, de même qu'en toutes choses nous vous avons
dit la vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s'est
trouvé être la vérité.
[15]
Et son affection pour vous redouble, quand il se rappelle votre
obéissance à tous, comment vous l'avez accueilli avec crainte et tremblement.
[16]
Je me réjouis de pouvoir en tout compter sur vous.
Toi, Ô Dieu ! Gloire à
Toi !
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