Nouveau Testament - Epîtres 2ème Epître du Saint Apôtre Paul aux Corinthiens 2 Corinthiens 8 : 16 – 9 : 5 |
2 Corinthiens 8 : 16 – 24 [16] Grâces soient rendues à Dieu, qui met au cœur de Tite le même empressement pour vous : [17] il a répondu à notre appel. Plus empressé même que jamais, c'est spontanément qu'il se rend chez vous. [18] Nous envoyons avec lui le frère dont toutes les Églises font l'éloge au sujet de l'Évangile. [19] Ce n'est pas tout ; il a encore été désigné par le suffrage des Églises comme notre compagnon de voyage dans cette libéralité, dont le service est assuré par nous pour la gloire du Seigneur lui-même et notre propre satisfaction. [20] Par là nous voulons éviter qu'on n'aille nous décrier pour cette forte somme dont le service est assuré par nous ; [21] car nous avons à cœur ce qui est bien, non seulement devant le Seigneur, mais encore devant les hommes. [22] Avec eux nous envoyons aussi celui de nos frères dont nous avons éprouvé l'empressement de maintes manières et en maintes circonstances, et qui maintenant est beaucoup plus empressé, en raison de la grande confiance qu'il a en vous. [23] Pour ce qui est de Tite, c'est mon associé et coopérateur auprès de vous ; quant à nos frères, ce sont les envoyés des Églises, la gloire du Christ. [24] Donnez-leur donc, à la face des Églises, la preuve de votre charité et du bien-fondé de notre fierté à votre égard. 2 Corinthiens 9 : 1 – 5 [1] Quant à ce service en faveur des saints, il est superflu pour moi de vous en écrire. [2] Je sais en effet votre ardeur, dont je suis fier pour vous auprès des Macédoniens : " L'Achaïe, leur dis-je, est prête depuis l'an passé. " Et votre zèle a été un stimulant pour le plus grand nombre. [3] Toutefois je vous envoie les frères, pour que la fierté que nous tirons de vous ne soit pas réduite à néant sur ce point, et que vous soyez prêts, ainsi que je l'ai dit. [4] Autrement, si des Macédoniens venaient avec moi et ne vous trouvaient pas prêts, notre belle assurance tournerait à notre confusion, pour ne pas dire à la vôtre. [5] J'ai donc jugé nécessaire d'inviter les frères à nous précéder chez vous, et à organiser d'avance votre largesse déjà annoncée, afin qu'elle soit prête comme une largesse et non comme une lésinerie. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire