Deisis (Christ en Gloire entouré de tous les Anges et Archanges, avec à Sa Droite, la Très-Sainte Mère de Dieu et à Sa Gauche, Saint Jean Baptiste, le Prophète et Précurseur)

dimanche 20 février 2011

Dimanche 07 / 20 Février 2011 - Luc 15 : 11 – 32

Dimanche du Fils Prodigue
Parabole du Fils Prodigue :
Nouveau Testament  -  Les Evangiles
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Luc
Luc 15 : 11 – 32
[11] Il dit encore : "Un homme avait deux fils.
[12] Le plus jeune dit à son père : "Père, donne-moi la part de fortune qui me revient." Et le père leur partagea son bien.
[13] Peu de jours après, rassemblant tout son avoir, le plus jeune fils partit pour un pays lointain et y dissipa son bien en vivant dans l'inconduite.
[14] "Quand il eut tout dépensé, une famine sévère survint en cette contrée et il commença à sentir la privation.
[15] Il alla se mettre au service d'un des habitants de cette contrée, qui l'envoya dans ses champs garder les cochons.
[16] Il aurait bien voulu se remplir le ventre des caroubes que mangeaient les cochons, mais personne ne lui en donnait.
[17] Rentrant alors en lui-même, il se dit : "Combien de mercenaires de mon père ont du pain en surabondance, et moi je suis ici à périr de faim !
[18] Je veux partir, aller vers mon père et lui dire : « Père j'ai péché contre le Ciel et envers toi;
[19] je ne mérite plus d'être appelé ton fils, traite-moi comme l'un de tes mercenaires. »
[20] Il partit donc et s'en alla vers son père. "Tandis qu'il était encore loin, son père l'aperçut et fut pris de pitié; il courut se jeter à son cou et l'embrassa tendrement.
[21] Le fils alors lui dit : "Père, j'ai péché contre le Ciel et envers toi, je ne mérite plus d'être appelé ton fils."
[22] Mais le père dit à ses serviteurs : "Vite, apportez la plus belle robe et l'en revêtez, mettez-lui un anneau au doigt et des chaussures aux pieds.
[23] Amenez le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons,
[24] car mon fils que voilà était mort et il est revenu à la vie; il était perdu et il est retrouvé !" Et ils se mirent à festoyer.
[25] "Son fils aîné était aux champs. Quand, à son retour, il fut près de la maison, il entendit de la musique et des danses.
[26] Appelant un des serviteurs, il s'enquérait de ce que cela pouvait bien être.
[27] Celui-ci lui dit : "C'est ton frère qui est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé."
[28] Il se mit alors en colère, et il refusait d'entrer. Son père sortit l'en prier.
[29] Mais il répondit à son père : "Voilà tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé un seul de tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau, à moi, pour festoyer avec mes amis;
[30] et puis ton fils que voici revient-il, après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu fais tuer pour lui le veau gras !"
[31] "Mais le père lui dit : "Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi.
[32] Mais il fallait bien festoyer et se réjouir, puisque ton frère que voilà était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé !"

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire