Deisis (Christ en Gloire entouré de tous les Anges et Archanges, avec à Sa Droite, la Très-Sainte Mère de Dieu et à Sa Gauche, Saint Jean Baptiste, le Prophète et Précurseur)

vendredi 26 novembre 2010

Vendredi 13 / 26 nov. - Saintes Ecritures - Jean 10:1-9

Nouveau Testament  -  Les Evangiles
Evangile du Saint Apôtre et Evangéliste Jean
Jean 10 : 1 – 9
Icône grecque contemporaine. Saint Jean l'Evangéliste sur l'Île de Patmos, dicte son Evangile.
·       Jean 10 : 1 – 9 (Evangile des Matines)
[1] En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.
[2] Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis.
[3] Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors.
[4] Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.
[5] Elles ne suivront point un étranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers.
[6] Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
[7] Jésus leur dit encore: En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
[8] Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés.
[9] Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages.
[10] Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance.
[11] Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
[12] Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse.
[13] Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis.
[14] Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent,
[15] comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis.
[16] J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger.
[17] Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre.
[18] Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre: tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.

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